Au lever, quand le temps pluvieux, est source d’inspiration.

Sous le ciel d’automne, pâle et monotone,

L’âme errante erre en des pensées lointaines

Les feuilles d’or tombent, frôlant le chemin,

Comme les rêves qu’on abandonne.

L’air est chargé des parfums mélancoliques,

D’une saison mourante aux couleurs fanées,

Où les arbres se vident de leur verdeur passée,

Et le vent chante des chants mélodiques.

Les heures s’étirent en lente langueur,

Comme des ombres qui dansent sans fin,

Et la mélancolie s’insinue en chaque coin,

Comme une douce et cruelle douleur.

L’automne, c’est la saison des adieux,

Où les amours se flétrissent doucement,

Où le soleil décline lentement,

Et le cœur se perd dans ses propres jeux.

Dans ce crépuscule, tout semble suspendu,

Comme une peinture figée dans le temps,

L’automne, énigme d’un monde en tourment,

Où l’âme solitaire erre, parfois déçue.

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